Fin d’hiver, de Thérèse Jerphagnon

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Fin d'hiver Lettres à Lucien

Let­tres à Lucien

Au soir d’une vie belle et pleine, Thérèse se sou­vient et écrit des let­tres d’amour à son mari Lucien Jer­phagnon, l’un de nos plus bril­lants intel­lectuels récem­ment dis­paru. Un por­trait sim­ple et touchant. Quand l’in­tel­li­gence ren­con­tre l’émotion…

L’ou­vrage
“Lucien Jer­phagnon était tout sim­ple­ment adorable, la douceur, l’at­ten­tion aux autres, une cour­toisie exquise, bref, dis­ons le mot, la bon­té incar­née, le tout avec tant d’hu­mour et de légèreté que l’on était aus­sitôt con­quis, séduit par son charme incomparable.
Les let­tres de sa femmes, Thérèse, lui ren­dent hom­mage. Ce sont des let­tres d’amour, pudiques, émou­vantes, mer­veilleuse­ment écrites, avec cette déli­catesse qu’elle partageait avec l’homme de sa vie.
Elles sont aus­si une leçon de vie, une médi­ta­tion légère et pro­fonde sur le deuil de l’être aimé, sur l’ab­sence qui demeure mal­gré tout présence, sur l’e­spérance aus­si, que l’amour est plus fort que la mort.”
Luc Fer­ry

Trois ans après la mort du grand philosophe, spé­cial­iste de la pen­sée antique et dis­ci­ple de Vladimir Jankélévitch, sa veuve lui adresse une série de let­tres en forme de sou­venirs. Au-delà des réflex­ions sur la mort, le cha­grin, la soli­tude ou l’ab­sence, cette soix­an­taine de courts chapitres con­stituent un por­trait sim­ple et touchant de celui qui fut aus­si un homme remarquable.

L’au­teur
Thérèse Jer­phagnon a enseigné longtemps l’es­pag­nol en région parisi­enne. Elle a col­laboré avec le mag­a­zine His­to­ria et la Revue des deux mon­des. Elle est égale­ment l’au­teure de C’é­tait hier (2000).

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